Vos secrets valent‑ils vraiment un prompt ?
Tout public

Vos secrets valent‑ils vraiment un prompt ?
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juillet 30, 2025

Vos secrets valent‑ils vraiment un prompt ?

Pourquoi l’abus d’IA peut devenir votre plus gros risque de fuite – et comment y remédier.

1. La scène de crime : la boîte de dialogue

Imaginez Jules, ­développeur chez Super‑Tech. Pressé de corriger un bug, il « balance » dans ChatGPT 300 lignes de code maison. Cinq minutes plus tard, problème réglé ! Tout le monde est content… sauf que ce code contient aussi des clés d’API et l’algorithme secret qui fait la différence face à la concurrence. Résultat : ces données rejoignent les serveurs du modèle, prêtes à réapparaître un jour ou l’autre.

Jules n’est pas un cas isolé : selon une étude publiée ce printemps, 1 prompt d’entreprise sur 8 contient déjà de l’information sensible. Oui, 1 sur 8 !

2. Quand la donnée sort du cadre : risques, réalités et parade tout‑en‑un

Les fuites ne viennent pas toujours de pirates : en juin, la faille EchoLeak a montré qu’un simple courriel pouvait pousser Copilot à exfiltrer des fichiers privés stockés sur Microsoft 365. Aucune pièce jointe, aucun lien piégé : juste une IA trop curieuse. L’incident est corrigé, mais il rappelle que quand votre assistant virtuel obtient tous les droits, le moindre faux pas devient potentiellement catastrophique.

Et si ce faux pas arrive, vos données n’ont pas de date de péremption : 86 millions de profils clients AT&T, volés en 2021, sont réapparus cet été, enrichis et prêts pour une nouvelle revente. Autrement dit : ce qui fuit aujourd’hui peut (re)faire surface dans quatre ans, en pire.

Alors, faut‑il interdire l’IA ? On a essayé… et les collaborateurs contournent. Mieux vaut poser un cadre clair (pas de secrets, pas de données perso dans les prompts), filtrer avant l’envoi, journaliser les échanges et surtout regarder dehors. C’est là qu’intervient le Cyber Threat Intelligence (CTI) : un sonar qui détecte vos traces sur le Web ouvert, mais aussi dans les recoins plus sombres.

Notre solution Darkivore pousse la démarche plus loin :

  • Détection temps réel des fuites, phishing et usurpations ;
  • The Dark Agent, un assistant IA qui trie le signal du bruit et vous prépare les takedowns ;
  • Action rapide : blocage, mises en demeure, accompagnement juridique, pour stopper la propagation avant qu’elle ne devienne virale.

En clair : vos politiques internes empêchent les secrets de sortir ; Darkivore veille à ce qu’ils ne restent pas dehors si jamais ils franchissent la ligne.

3. Conclusion : l’IA, yes – mais pas les yeux fermés.

L’IA générative peut décupler votre productivité. Mais sans garde‑fous, elle transforme chaque employé en point de fuite potentiel. Formez vos équipes, fixez des règles et gardez un œil sur la Toile : protéger vos données n’a jamais été aussi crucial. Et si vous cherchez un radar qui ne dort jamais, parlons‑en : Darkivore est là pour ça.

Article utile ? Partagez‑le, posez vos questions ci‑dessous ou contactez‑nous pour un audit flash de votre exposition sur le Dark Web.

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